samedi 2 avril 2022

Babinière, la prairie et la zone humide du Gesvres avant sa destruction partielle pour le Cetex.

Proche du Creps et des travaux hors normes sur le périphérique tout proche, le massacre de la nature continu dans le secteur. Présence de biches, de renards, de chiroptères, d'oiseaux, de reptiles, de sangliers, de lapins, d'écureuils, d'espèces protégées voir menacées. Des chênes plusieurs fois centenaires. 

La nature en ville tant vantée par Nantes Métropole est là. On va pouvoir en créer un paquet d'oasis de biodiversité et de bienpensance pour "compenser" la destruction, façon puzzle, de la zone humide.

Dans le fameux "eviter " réduire " "compenser", le choix de l'évitement n'a pas été la priorité, ni la réduction, que dire de la compensation véritable miroir aux alouettes.

 





 

1 commentaire:

  1. #nantesmillion surtout réfléchir comme il y a 20 ans ne rien changer. Nantes meTROPole dit vouloir densifier mais utilise des prairies pour stocker du matériel. Les arguments ? Les tramways sont trop longs! Et moi j'estime que les prairies sont trop utiles. Mais je dois réfléchir trop contemporaine ment. Le ciné dans les bois commence à interpeller est-ce que les parkings et le siège social sur la prairie vont interpeller aussi?

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