dimanche 17 mars 2024

Nature en Ville - Différences de traitement entre le centre ville de Nantes vs Nantes Erdre - Nantes Nord - La Chapelle sur Erdre



 
Différence de traitement entre le centre ville et au delà du périphérique.  Avant/ Après, ce n'est pas la même ambiance....
 
Ref ACTU NANTES.FR le 29 février 2024

Dans le centre, le "greenwashing" est visible, c'est bon pour la communication, c'est bon pour la  touristification. Plus loin à l'abri des regards, l’imperméabilisation se poursuit, l'étalement urbain & le mépris des habitantEs qui osent dire STOP AU BETONNAGE à NANTES METROPOLE aussi.

Le 16 mars 2024:
"Des bâches de plastique côté "bois jolie" au champ de manœuvres côté route de Carquefou ? 
Pour quoi faire ? Un potager? Un lieu de stockage ? Étouffer les tritons et les salamandres ? 
Empêcher les oiseaux de manger ? Lutter contre l herbe de la pampa?"
 
 
 Un nouveau parc de 10 hectares annoncé sur l Ile de Nantes.  Question Johanna Rolland, pourquoi dans ce cas, avoir massacré le champ de manœuvres ?
 
 
La Chapelle Ville Nature témoigne: " Projet immobilier du Domaine TOLEFI rue Louis Maisonneuve à LA CHAPELLE SUR ERDRE. L’exemple parfait du massacre d’un bois urbain de 5000 m2 , îlot de biodiversité en cœur de ville, au profit d’un promoteur immobilier. La Nature en ville est méprisée dans notre commune."
 
Le 28 février 2024. Remarque d'une habitante: "Au champ de manœuvres, le massacre de la nature continu. Des ornières de 40 cm dans la zone humide proche de l Enclos du pâturage."
 
 
Le 29 février 2024 - Scène ordinaire sur Nantes Erdre. Remarque d'un habitant:

"Photo de ce matin. Chantier proche Chlorophylle. Personne n a vu les opportunistes* Ouest-France Nantes ... Pourquoi avoir élu des écolos à la mairie, si c'est pour couper tous les arbres  ???
 
*Des journalistes nous taxent d'opportunistes quand nous nous insurgeons contre l'abattage d'arbres ou la destruction de biodiversité..  Est ce que nous pouvons parler de "journalisme de complaisance"?

 
 
Porte de Gesvres - Massacre de la nature - 4 hectares de vieux chênes ravagés, le Groupe VINCI impose le projet le plus destructeurs de Nature à la collectivité. Le monde à l'envers.

Février 2024, sur les terrains privés de la zone industrielle de Carquefou, à l'abri des regards des
arbres anciens sont régulièrement abattus et très peu ou pas ""compensés"".
 
A Nantes Nord, selon Pascal Bolo, figure du PS local semble déconnecté du monde réel en 2024 :
Pour lui, 500 arbres à abattre ce n'est pas gênant. Au contraire on verra mieux les trafiquants de stups?
 
 Un peu partout, un par un, les jardins disparaissent sous le béton. On reconstruit la ville sur la ville jusqu'à la disparition du dernier jardin NANTES METROPOLE ?
 
La densification urbaine est censée être proportionnelle à la végétalisation pour que la ville reste habitable, nous constatons que l'équilibre n'y est pas du tout.  De plus, les compensations environnementales n'existent pas ! 
 
« La compensation incarne une sorte d’oxymore conciliant : on compense car on veut protéger mais on compense pour pouvoir détruire »

Vincent Devictor, écologue.


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